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31 mars 2017 5 31 /03 /mars /2017 06:38

Toi qui es né de mes entrailles

Fruit de mon cœur et de mon sang

Toi qui dans les moindres détails

Est mon image à cent pour cent.

 

Toi qui glorifieras le nom

De ceux qui nous ont précédés

Et répareras le chainon

Qui par ma faute avait cédé.

 

Toi qui accompliras cette œuvre

Dont j’avais simplement rêvé

Génie précoce à la manœuvre

 

Au panthéon ton nom gravé ;

Je suis fier par procuration

Grâce à ce lien de filiation.

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24 mars 2017 5 24 /03 /mars /2017 07:15

Quand je frappe à la porte

Et que tu viens m’ouvrir

Chaque soir tu m’apportes

Un merveilleux sourire.

 

Ce retour au bercail

Qui me laisse impatient

Scarifie la grisaille

De trouées or et cyan.

 

Chaque jour j’appréhende

Que tu ne m’ouvres plus

D’être mis à l’amende

 

Par un nouvel élu.

Chaque jour je t’implore

Pour que tu m’aimes encore.

 

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7 mars 2017 2 07 /03 /mars /2017 18:28

J’aimerais devenir

Ce que je n’étais pas

Et pouvoir revenir

Sur chacun de mes pas.

 

J’aimerais tant sentir

Que ton cœur apaisé

Saura me consentir

Ce pardon épuisé.

 

J’aimerais tant t’offrir

Tous les cadeaux volés

Pouvoir reconquérir

 

Cet espoir inviolé

Puis avant de mourir

Enfin te cajoler.

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25 février 2017 6 25 /02 /février /2017 07:30

Vent glacial dans nos veines

Sur nos yeux sidérés

Tant de peurs sombres et vaines

Dans nos cœurs altérés.

 

Regarder au dehors

Les foules noires éplorées

Accompagner les corps

Des enfants massacrés.

 

Refouler toute haine

Le désir de venger

Ravaler notre peine

 

Et savoir pardonner

Contempler le levant

En marchant droit devant.

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28 janvier 2017 6 28 /01 /janvier /2017 06:48

Dans tes bras j’ai trouvé

Le plus doux des refuges

Un cocon préservé

A l’abri du déluge.

 

Et tout contre ton sein

Arrondi et soyeux

J’ai offert un blanc-seing

A ton cœur merveilleux.

 

C’est ici que je vis

Que mon âme t’appartient

Tous mes rêves assouvis

 

Mon bonheur est le tien.

J’ai croqué le délice

Dans l’écrin de tes cuisses.

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6 janvier 2017 5 06 /01 /janvier /2017 17:49

À brûle-pourpoint, au cours d'une conversation, je viens d’énoncer ceci pour faire passer mon message :

 

« Quand les vaches sont grasses on ne regarde pas ce qu'elles mangent ».

 

Qu’est-ce que cela évoque pour vous ? (cela peut être « rien » bien entendu...)

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12 décembre 2016 1 12 /12 /décembre /2016 06:26
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4 décembre 2016 7 04 /12 /décembre /2016 06:20

Vous trouvez que le blog est curieusement silencieux depuis quelques semaines ? C'est vrai. "Et pourquoi ?" comme dirait l'autre... Simple, le temps manque, et je serai mort avant d'avoir écrit le centième de ce que j'aimerais pouvoir coucher sur le papier.

Vous l'avez compris, je suis en écriture, je grappille, je me faufile dans les interstices de ma petite vie pour malmener mon clavier. Je n'aime pas trop parler d'un projet en cours mais disons simplement qu'il s'agit de la rencontre improbable entre une femme et un homme que tout sépare... Et cette histoire, je tente de la raconter à deux voix, "Elle" et "Lui"... un exercice pas si évident que cela.

Au moins quelques longs mois de plaisir et de labeur... Mais peut-être que ce silence vous est salutaire, que je ne manque à personne. Après tout, la vérité est sûrement là. Alors, pour vous éloigner définitivement de cet espace néfaste à la santé, un petit échange qui va vous laisser pantois !

- Il est vachement bon ce Bordeaux non ?

- Grave !

 

 

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9 novembre 2016 3 09 /11 /novembre /2016 09:39

Donald Trump ? Il a ri, mais pas elle.

Un vilain petit canard Président ? Vox populi...

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18 octobre 2016 2 18 /10 /octobre /2016 06:50

Qu’avons-nous fait de nos vallées

Des vertes terres, des bois ardents

Les pentes que j’aimais dévaler

Auprès du sapin Président ?

 

 

Qu’avons-nous fait de nos villages

Là où vivaient nos ascendants

Nos fiers comtois à l’attelage

Broutant les herbes et le chiendent ?

 

Qu’avons-nous fait de nos fromages

Que nous croquions à pleines dents

Lorsque les meules à l’affinage

 

Flattaient nos sens, les obsédant.

Qu’avons-nous fait de nos racines

De la mémoire qu’on assassine ?

 

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