22 septembre 2012
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11:40
L’onde sur le canal
Se soulève doucement
Comme le souffle délicat
Des poitrines assoupies.
À la voir s’élever
Dans le gris du silence
On aurait pu penser
Que son cœur frissonnait.
Le vent qui la caresse
En pointillés subtils
S’évanouit en volutes
Au parfum aérien
Encerclant nos espoirs
De panaches fulgurants.