27 avril 2013
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Sur les pentes brunies
Le soleil se prélasse
En toute impunité.
Il étend son empreinte
D’une vague brûlante
À l’écume mortifère.
Qu’importe qu’il nous ronge
Comme le plus vil acide
Forgerait des essarts.
Quand il sera parti
Nous nous prosternerons
En clamant sa grandeur.